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LES BULLETINS
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NOUVELLES DE MADAGASCAR

  • Arrestations des Français à Madagascar: la procureure confirme la préparation d'un coup d'État
  • Restitution des ?uvres d'art africaines: en France, les blocages persistent
  • Madagascar: l'enquête sur l'entourage des deux Français se poursuit, l'archevêque entendu

AGENDA

A noter dans vos agendas

ASSEMBLEE GENERALE :

Samedi 26 septembre 2020 à 10h

à RILLIEUX LA PAPE ?village

Salle de réunions 347 rue Capitaine Julien, derrière la salle des sports Hacine Cherif)

Venez nombreux !

 
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En savoir plus sur Madagascar

Pêcheur malgache
Pêcheur malgache
DatsoPic 1.2 © 2007 by Andrey DatsoConsultez ici les chiffres clés sur Madagascar et un article de notre association sur la situation sociale du pays.

Introduction :

Situation géographique :
l'île de Madagascar se situe dans l'Océan Indien.

Superficie :

590 000 kms carrés soit autant que la France et le Benelux réunis.

Nombre d'habitants :

Dans les rues de Tana
Dans les rues de Tana
DatsoPic 1.2 © 2007 by Andrey Datso18 610 000 habitants.

Il s'agit d'un des pays les plus pauvres de la planète.

>>> A voir : photos de Madagascar

 

Statistiques extraites de "L'Etat du Monde"
de 2006 :

Il est probable que depuis la parution de ces statistiques, rien ne se soit vraiment amélioré, bien au contraire...

Carte de Madagascar

Espérance de vie : 53,4 ans
Taux de scolarisation (en 2002) : 45%
Espérance de scolarisation : 6 ans
Classement du P.I.B. par habitant :
191ème place sur 203 pays
avec 251 dollars par an / habitants.
Classement I.D.H.* :
150ème place sur 177 pays classés.

* prenant en compte l'espérance de vie, le taux d'alphabétisation des adultes, le taux de scolarisation et le P.I.B. par habitant

L'avis de Solidarité Bidonvilles Madagascar sur ces chiffres :

Ces chiffres confirment nos observations sur le terrain selon lesquelles dans la quasi-totalité des bidonvilles, les enfants quittent l'école primaire vers 7 ou 8 ans et sont envoyés par leur mère ou par leurs parents (si le père est encore présent) afin d'essayer de gagner quelques sous.

Les enfants se retrouvent ainsi en général dans les rues, soit en mendiant, soit en rejoignant des bandes informelles vendant cigarettes, alcools, drogues, etc...

Inutile de souligner les dangers de cette derniere option qui débouche la plupart du temps sur l'affiliation à des bandes privilégiant dans presque tous les cas : la violence.

Autant dire qu'à court terme, les enfants en question connaitront l'enfermement dans les prisons malgaches, en proie à toutes les violences de la part de leurs co-détenus et du personnel pénitenciaire peu ou mal formés, et enclins à profiter de leur supposée puissance.

Tout ceci évidemment en l'absence de toute formation pédagogique, qui permettrait de faire évoluer favorablement un certain nombre de ces primo-délinquants.

Dans d'autres cas moins malheureux, les enfants peuvent accéder à des emplois s'apparentant à ce que nous nommons dans les pays occidentaux de "petits boulots", pratiquement toujours sous-payés.

A l'évidence, le seul espoir réside en une formation secondaire, technique ou générale permettant aux enfants  d'accéder dans une très grande majorité des cas au monde du travail dans les conditions convenables.

 

 
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