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Actualités

Prochain conseil d'administration

Notre association se réunira le 22 novembre à 17h pour le Conseil d'administration dans la salle des associations à Grézieu.
A cette occasion, un compte-rendu du voyage à Tanarive sera présenté.

 

Agenda

Repas annuel des membres

Le repas des adhérents de Solidarité Bidonvilles Madagascar aura lieu le samedi 22 novembre à 19h à Grézieu la Varenne (69). Venez nombreux !
>>> Réservez vos places en cliquant ici

 
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Consultez ici les chiffres clés sur Madagascar et un article de notre association sur la situation sociale du pays.

Carte de Madagascar Introduction :

Situation géographique :
l'île de Madagascar se situe dans l'Océan Indien.
Superficie :
590 000 kms carrés soit autant que la France et le Benelux réunis.
Nombre d'habitants :
18 610 000 habitants.

Il s'agit d'un des pays les plus pauvres de la planète.

Statistiques extraites de "L'Etat du Monde" de 2006 :

Il est probable que depuis la parution de ces statistiques, rien ne se soit vraiment amélioré, bien au contraire...

Espérance de vie : 53,4 ans
Taux de scolarisation (en 2002) : 45%
Espérance de scolarisation : 6 ans
Classement du P.I.B. par habitant :
191ème place sur 203 pays
avec 251 dollars par an / habitants.
Classement I.D.H.* :
150ème place sur 177 pays classés.

* prenant en compte l'espérance de vie, le taux d'alphabétisation des adultes, le taux de scolarisation et le P.I.B. par habitant

L'avis de Solidarité Bidonvilles Madagascar sur ces chiffres :

Ces chiffres confirment nos observations sur le terrain selon lesquelles dans la quasi-totalité des bidonvilles, les enfants quittent l'école primaire vers 7 ou 8 ans et sont envoyés par leur mère ou par leurs parents (si le père est encore présent) afin d'essayer de gagner quelques sous.

Les enfants se retrouvent ainsi en général dans les rues, soit en mendiant, soit en rejoignant des bandes informelles vendant cigarettes, alcools, drogues, etc...

Inutile de souligner les dangers de cette derniere option qui débouche la plupart du temps sur l'affiliation à des bandes privilégiant dans presque tous les cas : la violence.

Autant dire qu'à court terme, les enfants en question connaitront l'enfermement dans les prisons malgaches, en proie à toutes les violences de la part de leurs co-détenus et du personnel pénitenciaire peu ou mal formés, et enclins à profiter de leur supposée puissance.

Tout ceci évidemment en l'absence de toute formation pédagogique, qui permettrait de faire évoluer favorablement un certain nombre de ces primo-délinquants.

Dans d'autres cas moins malheureux, les enfants peuvent accéder à des emplois s'apparentant à ce que nous nommons dans les pays occidentaux de "petits boulots", pratiquement toujours sous-payés.

A l'évidence, le seul espoir réside en une formation secondaire, technique ou générale permettant aux enfants  d'accéder dans une très grande majorité des cas au monde du travail dans les conditions convenables.

 
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